La littérature horrifique est l’occasion de s’horrifier. Le lecteur s’horrifie comme la pépite dans un limon aurifère, il sort de sa lecture épouvanté et serein, ce n’est qu’un livre après tout mais il donne bien du frisson. Le curieux de la chose est le plaisir que l’on prend à frissonner, l’homme réclame du sang dans les histoires plutôt que dans …