A la lecture de Libération, une grande question assaille ma citadelle, si les pauvres étaient riches, se conduiraient-ils comme des riches ? Evidemment à cette question d’un enjeu métaphysique quasi nul, on serait tenté de répondre comme monsieur Torreton, grand loup de comédien tétant la mamelle du bien, qu’un pauvre devenu riche cesserait aussitôt d’être pauvre, il n’aurait pas tort. Passé …