D’Aragon, je connaissais surtout Aurélien et Bobby Lapointe. Bien sûr quelques poèmes appris sur les bancs de l’école, les yeux d’Elsa, Léo Ferré, le communiste international resté fidèle à l’eschatologie marxienne, la vieille cocarde enfin, amoureuse de garçons, élevée au rang d’icône pépère et naphtaline. Je ne connaissais pas La Grande Gaîté, poésies de jeunesse, recueil d’un trentenaire que la …