Nous arrivons enfin à La Rochelle. La fine équipe a une gueule d’atmosphère, le bateau s’enfonce dans les creux de la mer mais la houle le redresse sur l’écume, ce mouvement sans cesse recommencé provoque l’émoi des estomacs les plus accrochés. La surface moirée de l’océan moutonne inexorablement jusqu’au lointain chenal. Sur le pont arrière, nous tirons des tronches de …